Depuis quelques semaines, nous vivons avec un nouveau contexte : l’épidémie du Covid-19. Nous nous sommes adaptés face au confinement, nous avons changé nos méthodes de travail, nos habitudes. Nous avons dû, pour beaucoup d’entre nous, travailler en télétravail. Face à la violence et brutale baisse des marchés financiers, l’immobilier a montré pendant cette période délicate qu’elle est la valeur refuge par excellence.
Chaque crise, qu’elle soit financière, économique ou sanitaire, révèle des opportunités. Nous avons vu que les banques, grâces aux mesures de l’état et des banques centrales, étaient armées pour soutenir et relancer l’économie.
Partant de ce postulat, il ne faut pas céder à la panique et rester lucide et pragmatique. Rappelons que nous ne sommes pas dans une crise économique et financière comme en 2008-2009, mais une crise sanitaire, qui provoquera certes des turbulences, mais très vite la croissance économique repartira.
L’immobilier montre pendant cette période délicate qu’elle est la valeur refuge par excellence. Face à la volatilité des marchés et la baisse violente et soudaine des marchés financiers, la faible rentabilité des assurances vie en fond euros et des livrets bancaires, les épargnants vont se tourner vers l’immobilier qui est à leurs yeux une valeur sécurisée.
L’immobilier, par nature, n’est pas volatile. Il permet de vous constituer un patrimoine grâce à l’effet de levier du crédit. Mieux encore, grâce aux lois qui permettent de réduire votre impôt, il vous permet de constituer un capital/patrimoine immobilier grâce à vos impôts. Ce sont vos impôts qui paient votre achat immobilier (moyennant un effort d’épargne).
Malgré la crise sanitaire et le confinement, toute la chaîne du logement neuf est mobilisée pour permettre à chaque investisseur d’avancer dans son projet. C’est pourquoi chez Cap Valeur, nous avons rapidement mis en place le télétravail et choisi de rester disponibles, grâce à la visioconférence.
Dans un contexte post-crise sanitaire où les sujets comme la retraite et la dépendance reviendront sur le devant de la scène, nous devrons recomposer avec les mêmes incertitudes d’avant crise…. Elles ne se sont pas volatilisées. Elles n’ont pas disparu, et à cela va s’ajouter la facture des 120 milliards de dettes qui se sont accumulé pendant ces 6 dernières semaines liées au confinement.
=== > Ne rien faire faire sur ces placements et rester liquide (garder son capital sur les livrets et fond euros), c’est se mettre en danger pour le futur.
“Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté“. Churchill
Jean-François SOULEYREAU 